Fédération CGT des Cheminots


LES VOYAGEURS SONT EXASPÉRÉS, LES CHEMINOTS AUSSI !

Ensemble pour le fer

| Action du 8 février 2018

Depuis plusieurs semaines, la SNCF est traversée par des incidents, des pannes à répétition, des dysfonctionnements qui pénalisent les usagers et les cheminots. Nous en connaissons les raisons et nous connaissons les responsables. Chacun doit maintenant prendre ses responsabilités.

L’actuelle ministre des Transports, ex-directrice de la stratégie à la SNCF, feint d’ignorer les véritables raisons de la situation pourtant liées aux mauvais choix opérés depuis des années, y compris lorsqu’elle était membre du Comité Exécutif de la SNCF.

Le vaudeville qui se joue sous nos yeux pourrait être risible s’il n’était pas aussi grave.

Une direction SNCF qui rappelle que son mandat est à disposition du gouvernement, un gouvernement qui convoque ladite direction pour ré entendre ce qu’il sait déjà, tout cela sans remettre en cause la stratégie et la campagne anti ferroviaire qui se développe.

1. LE RETOUR À UNE ENTREPRISE PUBLIQUE, UNIQUE ET INTÉGRÉE : LA SNCF

La réforme ferroviaire de 2014 a éclaté la SNCF en trois EPIC distincts : SNCF (EPIC de tête), SNCF Réseau, SNCF Mobilités. Elle a rendu plus complexe les relations entre les différents services de l’entreprise désormais séparés dans 3 entités. Elle n’a pas réunifié le gestionnaire de l’infrastructure (ex RFF) et le transporteur (la SNCF). En définitif, elle a accentué les difficultés qui existaient déjà au préalable. En outre, elle n’a pas réglé la question du financement et de la dette.

2. REPRISE DE LA DETTE PAR L’ÉTAT

Les investissements de ces dernières décennies, notamment dans les LGV au détriment du réseau classique, ont été imposés par l’Etat à la SNCF. Il est inconcevable de vouloir faire supporter cette dette aux usagers et aux cheminots.

Le poids de la dette est prétexte à la fermeture de gares, de lignes, de guichets, à la suppression de l’emploi cheminot (2 000 prévus en 2018), au recours massif à la sous traitance, entre autres.

En attendant, elle génère chaque année 1,7 milliards d’euros d’intérêts qui part directement dans la poche des banquiers.

3. MISSION SPINETTA : EN FINIR AVEC LE TRAIN PUBLIC

Les conclusions de la mission confiée à l’ex PDG d’Air France seront sans surprise. Elles auront vocation à justifier une nouvelle réforme du système ferroviaire public en stigmatisant au passage les cheminots, leur statut. C’est pourtant ce statut (existant avant la création de la SNCF) qui, malgré des contraintes fortes acceptées par les cheminots, garantit la continuité du service public, un haut niveau de formation et de technicité, une approche de la sécurité des circulations placée au-dessus de tout le reste.

La CGT n’acceptera pas que les cheminotes et les cheminots soient les boucs émissaires de ceux qui ont décidé d’en finir avec la SNCF.

4.OUVERTURE À LA CONCURRENCE : LA SOLUTION À RIEN

L’ouverture à la concurrence relève au mieux de la malhonnêteté intellectuelle, au pire, d’une attitude irresponsable qui insulte l’avenir. Le transport public de voyageurs comme celui des marchandises, à l’heure des grands défis sociaux et environnementaux, est résolument contemporain. Mieux, il est un maillon structurant du futur en termes de déplacements, d’aménagement du territoire, de réduction des Gaz à Effet de Serre. Il est en outre un appui stratégique essentiel pour l’Etat, comme l’ensemble des services publics.

La Fédération CGT des cheminots a raison lorsqu’elle exige :

• Le retour à une entreprise publique, unique et intégrée : la SNCF, seule garante d’un fonctionnement cohérent de l’ensemble des services de l’entreprise.
• La reprise de la dette par l’Etat sans contrepartie et un financement public à la hauteur des enjeux futurs.
• L’arrêt immédiat des suppressions d’emploi et des embauches à la hauteur des exigences du service public ferroviaire.
• L’arrêt de la réduction de l’offre ferroviaire par le maintien, voire la réouverture de gares, de lignes, permettant à la SNCF de remplir ses missions de service public partout et pour tous.
• L’arrêt de toute velléité d’ouverture à la concurrence, contraire à l’intérêt général, à la réponse aux besoins des populations, au maintien du service public en tous points du territoire.

Les agitations médiatiques de la direction SNCF avec la complicité du gouvernement ne nous détourneront pas de l’urgence : maintenir le train public.

Aussi, la Fédération CGT appelle TOUS les cheminots, les associations d’usagers, les usagers eux-mêmes, ainsi que toutes celles et tous ceux qui souhaitent défendre un service public ferroviaire de qualité, à participer massivement à la manifestation nationale qui aura lieu le 8 février 2018 à Paris.

Dossiers associés

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La CGT Obtient Des Garanties Et Défend Tous Les Cheminots !

Facilités de circulation

| Retraités UFR

La Fédération CGT des cheminots a été reçue à sa demande sur le dossier des Facilités de Circulation pour l’ensemble des cheminots actifs et retraités.

Dossier extrêmement sensible et qui est confronté à de réelles attaques, conséquence de la balkanisation du ferroviaire, la CGT cheminots demeure exigeante sur le maintien et l’amélioration de ce droit.

Pour la CGT, l’accès aux facilités de circulation est un droit fondamental qui doit être assuré à tous les cheminot·es actifs et retraités et leurs ayants droit, quel que soit leur entreprise. C’est dans ce cadre que nous avons interpellé la Direction.

Avec l’arrivée d’un nouveau PDG, qui dans le cadre de ses multiples interventions, porte l’unité sociale, les Facilités de circulation constituent un des piliers de cette unité !

Pour autant, les politiques menées jusqu’alors, avec l’ouverture à la concurrence ou par exemple, la fermeture des guichets, au profit du tout numérique tendent à complexifier l’accès aux trains avec les FC.

La CGT obtient le maintien des FC papiers durant 3 années supplémentaires pour 25000 cheminot·es retraités et ayants droit !

En effet ce dispositif, mis en place pour la période 2024 à 2026 suite à une négociation avec la CGT, était destiné au cheminot·es retraités et ayants droit confrontés à « la fracture numérique ». Cette mesure est donc prolongée jusqu’en 2029 automatiquement à la suite de notre nouvelle
intervention.

La Direction annonce aussi que le dispositif de « contremarque » sur le réseau IDF est maintenu jusqu’en juin 2026 (délivré dans les guichets de Transilien) et les discussions avec « Île-de-France Mobilités » se poursuivent pour trouver une solution pérenne.

Pour la CGT, cette solution est minimaliste car elle se heurte avec la politique de fermeture des guichets partout ce qui rend inopérante cette solution à moyen terme.

Nous revendiquons la fourniture d’un support magnétique à l’ensemble des retraités et ayants droit qui ne possèdent pas de Pass Carmillon !

Concernant l’accès à la tarification « cheminot » dans les régions, la Direction annonce avoir fait le nécessaire auprès des Autorités Organisatrices pour que, dans la perspective de l’arrivée de la concurrence, les A.O. ayant fait des appels d’offres intègrent la tarification spécifique.

La démarche de la Fédération CGT des cheminots paye, car la Direction de l’entreprise reconnait que les Facilités de Circulation restent une préoccupation majeure.

Pour autant notre bataille n’est pas terminée : nos revendications sont toujours d’actualité et notre détermination reste intacte et ce, malgré la signature par 3 organisations syndicales de l’accord classification et rémunération qui ne garantit pas le droit au FC pour toutes et tous.

La CGT exige toujours :

  • Le maintien et le développement de ce droit ainsi que son extension à la branche ferroviaire ;
  • La gratuité totale des FC, sans contingentement et sans restriction pour toutes et tous ;
  • La réouverture des guichets en nombre suffisant pour répondre aux besoins des usagers et des cheminots ;
  • L’octroi des FC à l’ensemble des personnels CASI et CCGPF ;
  • La gratuité d’accès aux transports de substitutions ou lignes régulières par autocar ;
  • La non-fiscalisation et la non-soumission à cotisations sociales des FC ;
  • L’accès aux FC internationales sur l’ensemble des trains du réseau FIP ;
  • L’abandon définitif des dispositions envisagées visant à restreindre l’accès à la première classe pour les ADC.

La CGT des Cheminots ne relâchera pas la pression :

Nous resterons vigilants face à l’entreprise et continuerons de porter nos exigences pour la pérennité de ce droit fondamental pour l’ensemble des cheminots, actifs et retraités.

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METTONS UN COUP D’ARRÊT À L’AUSTÉRITÉ, PORTONS DES REVENDICATIONS COMMUNES !

2 décembre

| Personnel CASI/CSE/CCGPF

La Fédération CGT des Cheminots et son Collectif National appellent les personnels CASI, CSE et CCGPF à se mobiliser par la grève et la manifestation contre l’austérité et pour la justice sociale et fiscale.

Bibliothécaires, agents de restauration, comptables, agents de paie, cuisiniers, chefs de service, agents des activités sociales… Agissons ensemble à côté et avec les cheminots.
Notre sort, nos salaires, nos emplois, sont intrinsèquement liés aux leurs, et donc pour nous, pour les générations à venir, il est de notre responsabilité de défendre un véritable service public ferroviaire et de stopper cette destruction générée par l’ultralibéralisme.

Mobilisons-nous, tous ensemble !

NON à la libéralisation du ferroviaire et à la casse de l’entreprise publique SNCF ;
NON à la concurrence dans le transport ferroviaire qui conduit à la remise en cause des CASI, du CCGPF et à la baisse de dotation qui nous font vivre
POUR garantir la pérennité des emplois CASI, CSE et CCGPF ;
POUR l’augmentation de la dotation ASC versée par la direction SNCF qui profitera tant aux cheminots qu’aux personnels CASI, CSE et CCGPF (3 % actifs au lieu de 1,721 %, et 1 % retraités plutôt que 0 % actuellement) ;
POUR l’augmentation générale des salaires et l’intégration de toutes les primes versées aux cheminots qui n’entrent pas dans le calcul de la dotation ASC ;
POUR l’amélioration des droits des salariés CASI, CSE et CCGPF.

ENSEMBLE PLUS FORT, EXIGEONS LES MOYENS D’UNE VÉRITABLE CONVERGENCE D’INTÉRÊTS CHEMINOTS / PERSONNELS CASI, CSE ET CCGPF !

LE 2 DÉCEMBRE, SOYONS NOMBREUX EN GRÈVE ET EN MANIFESTATION !

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L’UNITÉ EST UN COMBAT !

Première table-ronde nationale avec le Président Castex

| Tract

Le Président CASTEX a convoqué une table-ronde nationale faisant suite à l’interpellation unitaire des Fédérations sur l’unité sociale du Groupe.

La CGT a porté des exigences fortes pour améliorer le quotidien des cheminots et le maintien de l’unité sociale et de leurs droits et garanties collectives.

La CGT a pointé le contexte international marqué par les déclarations martiales et va-t-en-guerre du gouvernement. À cela vient s’ajouter une situation nationale marquée par les reculs sociaux et austéritaires caractérisés par les débats budgétaires.

SUR L’UNITÉ SOCIALE ET LA PRIVATISATION DE LA SNCF

Aucune inflexion majeure quant à la stratégie des « filiales dédiées » impulsée par son prédécesseur ne semble se dessiner. La question de l’unité sociale du Groupe a été au cœur des échanges et des exigences portées par la CGT.
Sur l’inclusion des filiales Fret et Voyageurs dans le champ des accords Groupe s’appliquant à l’ensemble des cheminots, les annonces sont les suivantes :

  • Prolongation de 6 mois de l’accord sur l’unité sociale et les niveaux de négociation arrivant à échéance au 31 décembre 2025, et engagement d’une négociation en vue d’inclure les filiales dans certains accords pour constituer un « socle commun de droits ».
  • Élargissement du champ d’application des quatre accords en cours de discussion (logement, égalité professionnelle mixité, formation, droit à la déconnexion) qui deviendraient des « accords-cadres » ancrant des droits au niveau du Groupe, qui seraient ensuite déclinés au niveau des SA et filiales. Les filiales Fret privilégient par ailleurs une éventuelle adhésion à ces accords.
  • Période de survie des accords et textes RH, métiers et d’entreprise portée de 15 à 24 mois dans les trois premières filiales mises en exploitation. Ces accords seraient soumis à signature dans chaque filiale.
  • Mise en place d’une instance biannuelle traitant des sujets propres aux filiales.

Sur les activités sociales et culturelles et le maintien des dotations versées aux CASI et au CCGPF, l’engagement est pris d’en maintenir le niveau dans les trois premières filiales mises en exploitation à hauteur de 1,721 % pour l’année 2026. Une négociation nationale sur les ASC et la pérennisation de l’instance commune (CCGPF) se tiendra courant 2026.

SUR LES SALAIRES

Annonce d’une prime de partage de la valeur avant la fin de l’année, qui pourrait être étendue aux filiales Fret et Voyageurs, dite « prime Macron », totalement exonérée de cotisations sociales et ne contribuant pas au financement de la Sécurité sociale.
Tenue de la NAO Salaires le 13 janvier 2026.

SUR L’EMPLOI

  • Annonce de 6 000 recrutements en 2026, principalement dans les métiers de la production, avec l’engagement d’un solde positif en fin d’année.
  • Table-ronde à venir à Gares & Connexions en vue d’un plan de réinternalisation des métiers des ABE.

SUR LES CONDITIONS DE TRAVAIL

  • Annonce d’une table-ronde en janvier sur la commande des roulants en lien avec l’audit sur la commande du personnel.
  • Table-ronde sur les métiers de la circulation début janvier.

SUR LA SÉCURITÉ

Organisation d’une table-ronde Groupe sur la sécurité le 18 décembre 2025.

SUR LE FRET

Volonté de réduire la durée de l’interdiction de repositionnement sur les flux abandonnés et d’intervenir auprès de l’Union européenne, et « attention particulière » concernant l’entrée d’un co-actionnaire dans le capital de Rail Logistics Europe.

Ces premières annonces du nouveau Président de la SNCF doivent désormais se traduire en actes concrets dans les négociations qui vont s’ouvrir.

La Fédération CGT des cheminots appelle d’ores et déjà les cheminots à se tenir prêts à agir pour gagner des avancées, tant sur le quotidien que sur les droits et garanties collectives des cheminots !

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LE LIVRE SYMBOLE DE LIBERTÉ

| Actions

Le livre, symbole de liberté et de démocratie.
La promotion de la lecture est un engagement constant de la Fédération CGT des cheminots et de ses élu·e·s dans les CASI et au CCGPF. Pourtant ces actions impulsées par la CGT sont souvent contestées par les autres fédérations syndicales.

Un réseau de proximité pour un outil démocratique
Chaque année, ce sont 80 000 ouvrages qui viennent enrichir les collections des 182 bibliothèques gérées par les CASI, véritables lieux de rencontre et d’échanges aux animations diverses. C’est un tissu de bibliothèques d’entreprise qui reste important et aux contenus incomparables.

En complément, la bibliothèque centrale de prêt par correspondance du CCGPF et ses 50 000 ouvrages en achemine plus de 120 000 chaque année au presque 15 000 adhérents. 2025 marque une progression de près de 15%. Une offre illimitée pour toute la famille et entièrement gratuite. Des nouveautés permanentes et des thématiques au fil des saisons et évènements pour coller toujours plus à l’actualité et répondre aux besoins des cheminots et leur famille.

Des événements majeurs et accessibles

Rendre la lecture accessible c’est aussi la susciter, c’est créer des évènements qui permettent à chacune et chacun d’expérimenter et de vivre des expériences que nous ne ferions pas de nous-même.

Ainsi de nombreux CASI chaque année organisent le prix de la BD sociale et historique et le prix du manga avec des ouvrages accessibles dans les bibliothèques des CASI participants, un vote des cheminots et ayant droits et un week-end de rencontres autour de lecture, avec les auteurs et dessinateurs. Le CASI Nord-Pas-De-Calais a son propre prix depuis de nombreuses année.

C’est aussi le prix du second roman du CCGPF qui permet à chacune et chacun de lire la sélection durant l’été, de voter et de participer au jury qui se réunit en octobre à Paris pour choisir le lauréat. Un prix de lecteurs inédit qui s’appuie sur une politique culturelle d’entreprise portée et défendue par les élu·e·s du personnel.

C’est aussi un fonds technique, historique et social des chemins de fer français à disposition de toutes et tous. Le fonds cheminot, du CCGPF, situé sous la Gare de Lyon à Paris, est accessible à tous et s’enrichit chaque année. Il produit de nombreuses expositions à disposition des CASI, CSE, associations et aussi en partenariat avec les acteurs institutionnels promouvant les chemins de fer, le tourisme social, le mouvement ouvrier, etc…

Toujours des nouveautés, 2025 aura vu :

La création d’un prix de la jeunesse
Cet été pour amplifier cette promotion, sous l’impulsion des élu·es CGT, le CCGPF a créé un prix qui s’est déroulé tout au long de l’été 2025 dans nos colos. Pour une première, seuls les enfants de la tranche 11/13 ans pouvaient y participer. Ils sont nombreux (2100 votants pour 2700 colons) à y avoir participé volontairement tout au long de l’été. Une journée de remise du prix s’est tenue au théâtre Traversière, le 20 octobre dernier, et a rassemblé près de 250 participants.

Une résidence d’auteur
Dans nos villages vacances, dans nos théâtres et dans nos bibliothèques, des artistes sont accueillis afin qu’ils puissent travailler à des créations à présenter aux cheminots. Dans un village vacances par exemple, cela donne lieu à l’édition d’un livre de témoignage sur le travail des cheminots ou, sur un CASI, un livre sur la concurrence.

Un séjour = un livre
Cet été chaque famille séjournant dans un village vacances du CCGPF s’est vu offrir un livre édité spécialement.

2026, qui marquera les 40 ans de la gestion des activités sociales et culturelles par les cheminots poursuivra dans la lutte pour l’émancipation des cheminots à développer une politique culturelle offensive et développer de nouveaux projets : un livre abécédaire, une exposition, l’élargissement du prix de la jeunesse aux 4/5 ans…

N’en déplaise aux fossoyeurs de nos activités sociales et culturelles qui baissent la dotation ASC dans les filiales, qui veulent liquider le patrimoine, nos actions résolues et innovantes rassemblent quand tout pousse à nous isoler et tout individualiser, cassant ainsi les solidarités.
La lecture, comme les vacances, comme les fêtes, sont un lien et un liant de la famille cheminote.

Pour préserver et développer nos Activités Sociales et Culturelles, avec la CGT, j’agis !

→ Exigeons le maintien du 1,721% de la masse salariale pour toutes les filiales créées au sein du GPU.
→ Gagnons ce droit pour tous les cheminots de la Branche, avec une dotation ASC équivalente.
→ Exigeons, ensemble, la revalorisation à 3% de la masse salariale brute, et 1% pour les retraités.

Je m’engage en signant la pétition initiée par le CCGPF et les sept sociétés d’agents !

JE VOTE CGT !
JE ME SYNDIQUE ET REJOINS LA CGT !

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DES ACTIVITÉS ESTIVALES PLÉBISCITÉES

CCGPF

| Actions

Cette année 2025 est de nouveau marquée par de nombreuses nouveautés et évolutions au CCGPF sous impulsion et la gestion de la CGT.
Avec comme mêmes ambitions
: l’accès aux vacances, à la culture et aux loisirs pour toutes et tous !

→ Un droit à préserver et à développer !

Dans la période où les droits des cheminots sont remis en cause par le patronat du ferroviaire, direction du GPU SNCF en tête, l’existence de structures proposant des activités sociales et culturelles et gérées par les salariés restent des outils précieux à défendre et développer.

Depuis la création des CE en France en 1946 puis des CER et du CCE à la SNCF en 1986, la Fédération CGT des cheminots a permis que l’accès aux vacances devienne une réalité pour nombre de cheminots et leur famille.
Notre conception et nos choix de gestion des activités sociales et culturelles permettent l’émancipation par l’accès à la culture, à la lecture et aux loisirs.

Le patronat a toujours contesté et tenté de remettre en cause le financement de nos activités sociales et culturelles. Sans nos mobilisations, la création des CSE et CSEC, les réformes ferroviaires successives auraient pu faire disparaitre les activités sociales et culturelles. La création des CASI a permis de mutualiser les ASC et garder ce lien entre nous. Seules les visions égoïstes et mercantiles s’en échappent et participent à la baisse de la dotation ASC décidée dans les filiales de SNCF Voyageurs.

DROIT AUX VACANCES POUR TOUTES ET TOUS !
L’état des lieux

  • 10 villages vacances ;
  • 45 destinations en France avec des prestataires extérieurs ;
  • Plus de 50 000 cheminotes, cheminots et ayant droits dans nos maisons familiales ou villages partenaires en 2024, 55 000 en 2025 ;
  • +24,7% de demandes pour juillet et aout en 2025 ;
  • Plus de 858 familles supplémentaires cet été soit près de 3500 cheminots et ayant droits ;
  • Poursuite de l’augmentation des séjours de nos partenaires extérieurs, avec pour but moins de famille refusées.
    • Faute de places suffisantes dans les villages vacances pour répondre aux demandes des cheminots nous devons avoir recours à des prestataires extérieurs. Nous avons fait le choix de revoir certaines destinations et certains prestataires afin d’augmenter les offres proposées pour nos séjours subventionnés. L’année dernière plus de 2 500 cheminotes et cheminots supplémentaires sont partis en vacances, avec un budget équivalent malgré l’inflation. Une démonstration de bonne gestion de la CGT.
  • En 2025, les séjours d’une semaine pendant les vacances scolaires deviennent possible.
    • Parce que les cheminots sont de plus en plus nombreux à fractionner leurs congés, nous avons décidé de généraliser et de proposer des séjours d’une semaine durant les vacances scolaires dans les villages-vacances et nos séjours prestataires. Bien entendu, les séjours de deux semaines seront toujours possibles. Ce changement permet plus de souplesse, pour permettre de construire des vacances adaptées aux besoins mais également de répondre positivement à plus de familles.
Nos enfants : notre priorité
Au-delà du slogan, la Fédération CGT des cheminots s’y emploie et le réalise dans sa gestion des ASC. C’est vrai dans sa gestion des CASI, comme dans celle du CCGPF.
Une demande de séjour = une offre de séjours du CCGPF
Près de 14 000 enfants partis en colo en 2025 dont 10 700 cet été + de 80% d’offres acceptés sur le premier choix Une bourse « Ma première Colo » de 40€ 152 enfants de cheminots formés au BAFA en 2025

N’en déplaise aux distributeurs de chèques en tous genres et aux liquidateurs du tourisme social au profit du secteur marchand, la gestion de la CGT permet de rendre effectif le droit aux vacances pour toutes et tous, permet de partir à ceux d’entre nous qui ne pourraient jamais partir autrement, qu’ils soient actifs, retraités ou enfants.

POUR PRÉSERVER ET DÉVELOPPER NOS ACTIVITÉS SOCIALES ET CULTURELLES,
AVEC LA CGT, J’AGIS !

  • Exigeons le maintien du 1,721% de la masse salariale pour toutes les filiales créées au sein du GPU.
  • Gagnons ce droit, pilier du NSTC, pour tous les cheminots de la Branche une dotation ASC équivalente.
  • Exigeons ensemble la revalorisation à 3% de la masse salariale brute et 1% pour les retraités.

→ Je m’engage en signant la pétition initiée par le CCGPF et les sept sociétés d’agents.
→ Je vote CGT.
→ Je me syndique et rejoins la CGT.

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LE SILENCE COUPABLE DE LA DIRECTION !

Amiante

| Matériel

L’amiante, interdite depuis 1997 en France, est source de problèmes majeurs de santé.

La direction de l’entreprise doit prendre, au sens de la loi, toutes les mesures pour protéger les salariés qui pourraient être exposés à ce matériau, car l’amiante n’est toujours pas éradiquée.

Après de nombreuses interpellations de la CGT sur la possible présence d’amiante dans les fusibles SP 38 et SP 58 installés dans plusieurs équipements électriques et bâtiments, la direction n’a eu de cesse d’affirmer que tout était « sous contrôle » et que ces porte-fusibles n’étaient pas utilisés ailleurs.

Pire encore : une seconde note, émise par la direction Santé–Sécurité de SNCF Voyageurs, affirmait noir sur blanc que des investigations menées par l’ingénierie du matériel en août 2025 avaient « permis d’exclure » la présence de ces porte-fusibles dans le matériel roulant ferroviaire de SNCF Voyageurs.

Autrement dit, selon la direction, les trains n’étaient absolument pas concernés… ce qui s’est révélé totalement faux.

Pourtant, une note interne datée du 16 septembre 2025 concernant les fusibles SP 38 et SP 58 interdit formellement toute manipulation de ces porte-fusibles noirs : plus question de maintenance, de nettoyage, de dépoussiérage ou même de simple remplacement, que ce soit par les cheminots ou par des sous-traitants non habilités.

Et malgré la gravité du sujet, cette note n’a jamais été transmise par la direction de l’entreprise aux établissements matériels.

La CGT, fidèle à sa vigilance et refusant de laisser planer le moindre doute, a de nouveau interpellé la direction pour exiger la vérification des matériels roulants susceptibles d’être équipés de ces porte-fusibles, notamment les trains Corail.

Suite à cette pression, la direction et la maintenance sécurité ont finalement dû reconnaître les faits et ont informé les directions des technicentres, le vendredi 21 novembre à 21h30, de la découverte avérée de porte-fusibles contenant de l’amiante.

Cette situation a finalement conduit les directions concernées à publier une note de service n°75 en date du 24 novembre 2025 sur ce sujet.

L’axe prioritaire doit être la prévention. Cela suppose que l’amiante doit disparaître dans toute l’entreprise.

La CGT demande à tous les cheminots ayant travaillé sur les engins construits avant 2000 et qui ont été au contact de ces portes fusibles de réclamer immédiatement un diagnostic médical et un suivi amiante.

LA CGT CONTINUE D’EXIGER :

  • La suppression du risque par un plan et un programme de retrait systématique des porte-fusibles SP38/SP58, par une entreprise certifiée ;
  • Un recensement exhaustif des installations et repérages effectués par un opérateur certifié amiante et des divers équipements électriques pouvant contenir de l’amiante ;
  • Un recensement nominatif de tous les cheminots exposés, avec fiches d’exposition et suivi médical renforcé/post-exposition ;
  • Un suivi des agents retraités ayant été contaminés par l’amiante dans les cabinets médicaux SNCF.

ÉRADIQUONS L’AMIANTE ET PROTÉGEONS LES CHEMINOTS
ACTIFS ET RETRAITÉS EXPOSÉS OU NON !

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MOUVEMENT DE GRÈVE SEG : NOVEMBRE 2025

Info Luttes

| Actions

Info Luttes

Depuis plusieurs mois, les agents du service électrique sont mobilisés pour la reconnaissance de leurs métiers et l’amélioration de leurs conditions de travail.

Depuis le 19 novembre, ce conflit a pris une ampleur nationale et pourrait s’élargir si la direction de SNCF Réseau ne répond pas concrètement aux revendications des cheminot·es !

Depuis l’été dernier des conflits se multiplient dans les brigades SE sous l’impulsion de la seule CGT. À Lyon, Montpellier, Paris, Bordeaux, Toulouse, Strasbourg, Rennes, des centaines de cheminot·e·s ont décidé de faire la grève de l’astreinte.
Ces conflits ont contraint la direction de SNCF Réseau à convoquer 2 réunions bilatérales et de programmer une table ronde le 1er décembre prochain.
Pour l’heure les propositions faites ne sont pas à la hauteur des exigences portées par les cheminot·e·s qui multiplient les actions et font progresser le rapport de force.
La CGT appelle à mettre sous pression la prochaine table ronde du 1er décembre.

Ces derniers jours encore, plusieurs actions en locale se sont tenues, en voici quelques exemples :

CLERMONT-FERRAND

Le 19 novembre, 80 cheminots de tous métiers ont interpellé leur nouvelle direction. Avec la CGT ils ont demandé à la direction d’ouvrir des négociations sur la création de nouveaux parcours professionnels.
3 nouveaux cheminots ont rejoint la CGT à l’issu de ce rassemblement.

PAYS DE LA LOIRE

Le lundi 24 novembre, une soixantaine d’agents SEG de la région des Pays de la Loire ont interpellé leur direction aux côtés de la CGT. Ces agents sont inscrits très majoritairement dans le conflit. Face à ce rapport de force, la direction tente de casser le mouvement en modifiant les tableaux de service et en passant par des roulements en 2×8.

La grève d’astreinte est maintenue. La CGT appelle les CCRN à rentrer dans le mouvement et à amplifier le rapport de force.

À la suite de ce rassemblement, le 2×8 a été abandonné, l’augmentation de la prime de travail pendant 6 mois a été actée ainsi que l’embauche des effectifs prévus sur 2025 avant la fin d’année.

LILLE

C’est dans ce cadre de contestation que les agents de l’Infrapole NPDC et de l’INE sont massivement en grève depuis le 03 novembre 2025 à l’appel de la CGT. Les entorses à la réglementation du travail et l’absence de répondre aux légitimes revendications, ont conduit les cheminot·e·s à interpeller leur direction.
Le 19 novembre, plus de 70 agents se sont rassemblés avec la CGT devant le siège de l’Infrapôle NPDC. La direction de cet établissement reste sourde au mouvement. La justice a été saisie par la CGT afin de rétablir les droits des cheminots.

AVEC LA CGT toutes et tous en grève
LE 1ER DÉCEMBRE 2025.

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LA GRANDE BRADERIE DES BIENS DE FRET SNCF !

| Actions

Des locomotives 27000 de l’ex-Fret SNCF, maintenant C32, sont liquidées aux enchères publiques sur le site Agorastore comme de simples biens obsolètes. Cette politique, menée au nom de la discontinuité imposée par Bruxelles et validée par un gouvernement est un non-sens économique et industriel.

C’est un gâchis historique aux conséquences durables pour les cheminots, pour Hexafret, pour les chargeurs et pour les ateliers de maintenance. C’est aussi un cadeau offert aux autres entreprises de fret qui vont pouvoir bénéfi-cier de matériels modernes pour un prix modique.

Pour la CGT, il aurait été opportun de pouvoir garder ces locomotives, dont certaines sont passées en OP mi-vie, au lieu de remettre en service nos vieilles 7200. C’est de la QVT inversée ! Dans le même temps, on brade les matériels modernes… et on ressort les BB 7200.

Le coût de l’OPMV des 27000 est de 1,2 million par locomotive. La valeur marché de la locomotive est d’environ 800 000 euros, soit pour une 27000 quasi neuve 2 millions d’euros. Elles sont aujourd’hui en vente à 2,5 millions pour un lot de 3 machines.

Ce n’est pas tout ! Il y a aussi le scandale des BB 36300, un matériel moderne, sacrifié sans cohérence. Les locomotives 36300 n’étaient pas un matériel vétuste. Elles représentaient l’un des investissements les plus récents et les plus structurants pour le fret : locomotives modernisées, dotées de systèmes performants et d’un potentiel industriel largement supérieur à ce que laissent entendre leurs détracteurs.

Elles ont été retirées du service bien avant la fin de leur durée d’amortisse-ment, immobilisées administrativement, puis vendues aux enchères pour des montants dérisoires, loin de leur valeur réelle. Ce n’est pas une cession, c’est une perte sèche d’investissement public. Ce n’est pas une stratégie, c’est un abandon !

Sous couvert de discontinuité, c’est une liquidation qui dépasse largement les exigences européennes.

L’argument de la discontinuité, brandi comme justification absolue, est utilisé bien au-delà de ce que demande réellement Bruxelles. La France applique une version maximaliste et punitive de la séparation entre l’ancienne activité Fret SNCF et Hexafret, alors que d’autres États européens ont mené des transitions plus pragmatiques, préservant leur matériel et leur outil industriel.

La CGT dénonce avec force cette politique schizophrène.

Pendant que des 36300 et des 27000, parfaitement aptes à la traction, sont vendues ou partent à l’export, les agents d’Hexafret voient réapparaître des locomotives hors d’âge avec tout le confort qui les caractérisent…

Ces machines ont plus de 40 ans, une ergonomie datée et une capacité de traction limitée. Les ateliers doivent réapprendre à maintenir un matériel qui aurait dû être remplacé depuis longtemps. Les agents, quant à eux, doivent composer avec des engins qui ne correspondent ni aux besoins actuels ni aux exigences de sécurité modernes, pas plus qu’à la volonté affichée de relancer le fret avec en plus des charges optimisées qui ne font qu’aggraver leur vieillissement. La Direction nous a annoncé qu’elles auraient dû être retirées de la circulation en 2034, mais que finalement, elles seraient retirées en 2030.

Une politique incohérente, coûteuse et dangereuse pour la relance du fret ferroviaire

Concernant les terrains de Fret SNCF, un AMI (appel à manifestation d’intérêt) va être lancé pour la vente d’un million de mètres carrés, ce qui représente plus de 100 millions d’euros d’actifs qui là aussi vont être bradés. Qui seront les repreneurs ? On peut déjà craindre que tous ces terrains servent avant tout l’appétit féroce des promoteurs immobiliers et ne soient en rien en lien avec le monde ferroviaire.

Le doublement de la part modale du FRET FERROVIAIRE ne pourra pas se faire sans l’opérateur historique, mais pour cela, il faut qu’il conserve des moyens humains et matériels.

La relance du fret public n’est pas une option !

La relance immédiate du train des primeurs et de l’AFA doit devenir une priorité nationale. Pour la CGT, Hexafret a encore la capacité de pouvoir les assurer. Le gouvernement français doit immédiatement remettre ces trafics sur les rails ! « Pas de report modal inversé ! », il avait été dit. Pourtant, les exemples sont là !

POUR LA CGT, LE FRET FERROVIAIRE PUBLIC EST L’AVENIR,
AVEC LES CHEMINOTS D’HEXAFRET
POUR UNE VRAIE RELANCE DE L’ACTIVITÉ !

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RÉGRESSION SOCIALE, MOTEUR DU CAPITAL !

Droit du travail

| Les conditions sociales

Que ce soit sur le temps de travail, sur les repos hebdomadaires, sur les arrêts maladie…, les attaques du patronat et du pouvoir en place contre les droits des salarié·es s’accélèrent.

Ces mesures ne s’appliquent pas, pour l’instant, dans les branches professionnelles disposant d’une Convention collective, mais jusqu’à quand ?

Le 13 novembre dernier, la Cour de cassation a jugé qu’un·e salarié·e peut travailler plus de 6 jours consécutifs, à condition qu’il ou elle ait au moins un jour de repos dans chaque semaine civile (du lundi 0h00 au dimanche 24 heures). En d’autres termes, elle considère que le Code du travail autorise un·e salarié·e à travailler jusqu’à 12 jours consécutifs étalés sur deux semaines, tant qu’un repos existe dans chaque semaine civile !

Cette lecture orientée du droit constitue une nouvelle attaque contre les salarié·e·s, insultant l’histoire sociale des travailleur·euse·s en rayant d’un trait de plume la lutte des mineurs en 1906 après la catastrophe de Courrières, débouchant sur la création du repos hebdomadaire à la suite d’un mouvement social d’ampleur marqué par une répression sans précédent !

L’OFFENSIVE DÉCOMPLEXÉE DES IDÉES CONSERVATRICES S’INTENSIFIE !

Le 22 novembre 2025, c’est au tour de la droite sénatoriale, dans le cadre de l’examen du PLFSS 2026, d’afficher son mépris pour les salarié·e·s en votant un amendement augmentant la durée annuelle de travail des salarié·e·s de 12 heures supplémentaires par an ! Cette mesure s’inscrit dans la lignée de la bataille culturelle menée par le capital et ses laquais, en infusant dans le débat public des idées régressives et antisociales, à l’image du projet de loi du 3 juillet dernier voulant mettre fin au 1er mai férié, chômé et payé, ainsi que l’adoption, le 31 octobre 2025, de l’amendement rendant possible la prescription par les médecins d’une période de télétravail en lieu et place d’un arrêt maladie !

UNE AUTRE VOIE, HUMAINE ET SOLIDAIRE, EST POSSIBLE !

Alors que le patronat du ferroviaire (UTP) applique les mêmes recettes avec ses attaques incessantes contre la CCN de branche, les cheminot·e·s en ressentent déjà les effets dévastateurs, notamment du fait des réorganisations en cascade et de la dégradation de leurs conditions de travail. Concernant les ingénieur·e·s, cadres, technicien·ne·s et agent·e·s de maîtrise (Ictam), ils et elles subissent l’explosion de leur temps de travail, souffrent de l’accroissement exponentiel de leur charge mentale et d’un déséquilibre vie pro-vie perso grandissant.

C’est pourquoi il est nécessaire de se rassembler avec la CGT et son UFCM pour revendiquer un nouveau Statut du travail cheminot (NSTC) protecteur et émancipateur, et de se mobiliser contre nos ennemis de classe, dont l’unique objectif est de détruire nos repères collectifs en matière de droits, de salaires, de protection sociale et de retraite !

LA CGT ET SON UFCM REVENDIQUENT :

  • des augmentations générales de salaire et la mise en place d’une grille unique des salaires ;
  • l’extension de la liste des emplois-repère à pénibilité avérée (ERPA) et l’amélioration des dispositifs de CAA existants ;
  • la reconnaissance de la pénibilité pour les encadrants de proximité, leurs adjoints, les RET, les GM, les CTT, les ordonnanceurs et les « astreinteurs » ;
  • la mise en place d’un décompte horaire pour contrôler le temps de travail mais aussi le temps de repos ;
  • l’instauration de véritables dispositifs de déconnexion sous la responsabilité de l’employeur ;
  • l’abrogation de la contre-réforme des retraites ;
  • l’arrêt de toutes les réorganisations en cours.

CONTRE LA RÉGRESSION SOCIALE ET L’AUSTÉRITÉ BUDGÉTAIRE,
CHEMINOT·ES DE TOUS MÉTIERS ET DE TOUS COLLÈGE,

EN GRÈVE ET DANS LES INITIATIVES LOCALES LE 2 DÉCEMBRE !

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26 novembre 2025

Mobilisation ferroviaire : la CGT et les usagers unis

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