Fédération CGT des Cheminots


J'adhère

VENDREDI 1ER DÉCEMBRE : JOURNÉE SANS ITINÉRAIRE !

EIC

| Exploitation

La CGT appelle les cheminots de la Circulation à se mobiliser pour arracher à la Direction une meilleure rémunération et de meilleures conditions de travail. Le 1er décembre, TOUS EN GRÈVE !

La Direction refuse de revoir sa copie sur les engagements pris en 2022. Les cheminots subissent toujours les manques d’effectifs et d’une réelle reconnaissance salariale de leur métier, le manque de postes à moindre pénibilité et le défaut d’une prise en compte de la totalité du temps de remise de service. Les congés sont régulièrement refusés ou imposés. Les agents de réserve et les dirigeants de proximité sont surexploités et utilisés au-delà des dispositions réglementaires.

SEULES LES LUTTES MENÉES SONT GAGNANTES !

Les exemples sont multiples et démontrent que les mobilisations locales massives font plier les directions nationales et locales.

Après plusieurs journées de grève, les agents Circulation du PRCI du Mans ont sauvé leurs postes et obtenu une révision du schéma directeur de la CCR Grand Ouest !

En Normandie, le 13 novembre, une grève à l’initiative de la CGT a mobilisé plus de 78 % de cheminot·e·s excédés par leurs conditions de travail. Cette lutte a permis l’augmentation du nombre de recrutements en 2024, le retour des roulements à 5 agents et l’amélioration du plan de formation.

REPRENDRE LA VOIE DE L’ACTION

La direction de SNCF Réseau gèle les embauches et précarise l’emploi en utilisant les contrats d’intérim et CDD !

Les directions d’établissement définissent l’utilisation des cheminots et organisent le siphonnage de leurs compteurs TQ pour annihiler la prise en compte du temps de remise de service. Quel que soit le compteur utilisé, les directions ont donc la possibilité de neutraliser le décompte. La CGT revendique la reconnaissance du temps de remise de service à hauteur de 15 minutes et la neutralisation des décomptes.

L’indemnité Circulation de 60 euros par mois obtenue reste insuffisante au regard de la technicité de nos métiers. D’autant plus que certaines directions conditionnent cette indemnité au présentéisme. La CGT revendique le doublement de la prime de travail pour toutes et tous.

Concernant les parcours professionnels et les postes à moindre pénibilité, aucune mesure concrète n’a été prise. La CGT revendique la création de postes à moindre pénibilité pour les cheminots en fin de carrière. Ces postes d’AFP, d’UO, d’assistant DPX, de renfort travaux, de coupeur permettraient d’améliorer concrètement les conditions de travail ainsi que l’accueil et l’encadrement des jeunes embauchés. Les cheminots attendent des mesures en lien avec la pénibilité et les fins de carrière.

La CGT fait la proposition d’une CPA de 48 mois pour tous les cheminots, avec des mesures pouvant aller jusqu’à 18 mois supplémentaires pour les métiers de la Circulation reconnus à pénibilité avérée. Face à une direction qui reste sourde, il nous faut hausser le ton pour nous faire entendre !

La Fédération CGT des cheminots a déposé un préavis de grève couvrant l’ensemble des personnels des EIC pour la période allant du jeudi 30 novembre 2023 à 19 heures au samedi 2 décembre 2023 à 8 heures.

La CGT appelle les cheminot·e·s de la Circulation à déposer massivement leur D2I et à agir le vendredi 1er décembre 2023 !

Toutes et tous en grève pour gagner sur nos revendications !

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PRENONS L’AVANTAGE, ALLONS CHERCHER DAVANTAGE !

Accord NAO (suite)

| Espace presse

Au terme d’une mise en scène poussive, la direction décide finalement d’appliquer de manière unilatérale et dans leur globalité, les mesures NAO qu’elle avait soumis à signature le 8 novembre dernier.

Fin du 1er acte.

Écrivons ensemble le 2e !

Le chantage fait aux organisations syndicales, donc aux cheminots, ne nous aura pas fait trembler. Nous avions raison.

La direction SNCF vient d’annoncer qu’elle décidait d’appliquer, malgré l’absence d’un accord majoritaire, les dispositions présentées lors de la table ronde NAO.

Par ailleurs, et comme le disait la CGT, elle n’avait aucune raison de soumettre le versement de la prime dite « du partage de la valeur » de 400 euros (non soumise à cotisations sociales et non pérenne), à une éventuelle signature majoritaire. C’est pourquoi, elle décide de porter cette question à l’ordre du jour de la prochaine plénière de l’instance commune (CCGPF). Comme quoi, d’autres recours existaient.

Tout ça était donc bien du bluff, un mauvais chantage, une manière d’envisager la négociation sociale sous le plus mauvais angle.

Si les cheminotes et les cheminots, dans un contexte inflationniste inédit, accueillent avec bienveillance les quelques mesures décidées bien que n’étant pas dupes de la faiblesse de celles-ci, ils ne renonceront pas à aller chercher ce que la direction leur doit réellement, et la note est salée !

Pour rappel, la CGT revendique :

  • L’augmentation générale des salaires ne se limitant pas à l’inflation mesurée, mais tenant également compte du contentieux salarial ;
  • La revalorisation des primes de travail et des mesures équivalentes pour les contractuels ;
  • La revalorisation des primes, indemnités et allocations ;
  • L’octroi d’un VÉRITABLE 13e mois pour l’ensemble des cheminots contractuels et statutaires ;
  • L’augmentation des indemnités de résidence et son attribution à l’ensemble des cheminots contractuels et statutaires.

Il s’agit donc de poursuivre la bataille sur les salaires et d’en faire une priorité quotidienne et locale.

La CGT, avec ses militants locaux, va tout faire pour créer les conditions de l’unité des cheminots contractuels et statutaires la plus large possible.

NE CÉDONS JAMAIS AUX INTIMIDATIONS, AUX PROVOCATIONS, AU CHANTAGE !

SOYONS NOUS-MÊMES…

…PARCE QUE NOUS LE VALONS BIEN !

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LETTRE OUVERTE AU PRÉSIDENT DU GPU SNCF

Non signature de l’accord salarial

| Espace presse

M. Jean-Pierre FARANDOU
Président-Directeur Général du GPU SNCF
2 Place aux Étoiles
CS 70001
93633 LA PLAINE SAINT DENIS CEDEX

Objet : Non signature de l’accord salarial

Monsieur le Président,

La question salariale est centrale pour l’ensemble des travailleuses et travailleurs, quelle que soit l’entreprise et ce, au regard de la baisse de la part du salaire dans la valeur ajoutée, fruit de leur travail.

Les cheminots ne sont pas en marge de cette réalité. D’ailleurs, les difficultés croissantes pour recruter ou encore la démultiplication des démissions dans l’entreprise sont, en grande partie, les conséquences de l’absence d’une véritable reconnaissance salariale des métiers de la SNCF quel que soit le collège.

La CGT est, depuis toujours, favorable à des augmentations générales des salaires et pensions pour permettre à tous les cheminots (actifs et retraités) de pouvoir vivre décemment. Les cheminots actifs, demandent légitimement, quant à eux, une véritable reconnaissance de leur travail, tenant compte de leurs diplômes, qualifications, ancienneté, savoir et savoir-faire.

La direction de l’entreprise a tenu deux tables rondes sur les salaires en 2023, l’une le 31 mai et l’autre le 8 novembre dernier.

Le déroulement de la table ronde du 8 novembre ne peut que nous interroger, tant sur la forme que sur le fond. Sur la forme tout d’abord, la stratégie du chantage à la signature, liée à une approche « particulière » de la négociation sociale, ne pouvait qu’aboutir à un échec.

Cela aurait été un détail, si le contenu avait été à la hauteur de la situation que vivent les cheminots.

Or, sur le fond, La fédération CGT des cheminots considère que ce projet d’accord ne règle rien pour 2023 et ne prévoit, en fait, aucune NAO pour 2024. Il entérine donc un nouveau recul du pouvoir d’achat des cheminots.

D’ailleurs, en parallèle de la proposition de +1,8 %, la direction annonce dans le texte de l’accord :

  • Une inflation 2023 prévue à + 4,9 %
  • Une évolution moyenne des prix de 9 à 10 %

Chacun sait que La SNCF, c’est 2.4 milliards de bénéfices en 2022 et plus d’un milliard de dividendes reversés à l’État. Cette trajectoire semble se confirmer sur les résultats financiers des exercices à venir.

Les mesures globales annoncées représentent une enveloppe de 300 Millions : il faut donc tout remettre à l’échelle ! Nous considérons donc que les mesures générales ne sont pas suffisantes.

Si certaines annonces peuvent aller dans le bon sens, elles demeurent, elles aussi, insuffisantes et en deçà des besoins exprimés. Elles ne concernent pas tous les cheminots et, pour certaines d’entres elles, se résument dans les faits à quelques centimes supplémentaires. Elles ne sont donc pas de nature à emporter notre adhésion ;

S’agissant de la prime de 400 euros dite « prime du partage de la valeur », elle a été un levier de chantage supplémentaire. C’est, selon la CGT, une erreur d’autant que d’autres recours sont à votre disposition pour imposer celle-ci. Elle constitue par ailleurs une prime en somme fixe non pérenne, défiscalisée pour l’entreprise et non soumis à cotisations sociales, ce qui, en l’espèce, ne peut nous satisfaire au regard de la conception que nous avons du système de protection sociale et de son financement, en général.

Cette séquence est donc loin de répondre aux revendications de la CGT et, a fortiori, aux besoins exprimés par les cheminots de tous collèges, qu’ils soient contractuels ou statutaires.

C’est pourquoi nous estimons que de nouvelles NAO doivent s’ouvrir le plus rapidement possible.

A l’instar de ce que nous avons posé comme propositions lors des derniers rendez-vous, nous revendiquons les principaux éléments suivants :

  • Des augmentations générales des salaires et pensions, couvrant l’inflation, et qui établissent une première étape de rattrapage du contentieux salarial lié à une stratégie salariale largement contestable de la part de la direction depuis plusieurs décennies ;
  • La réévaluation des primes de travail qui assurent une reconnaissance des savoirs et du savoir-faire ainsi que de la technicité des cheminots dans le cadre de l’exercice des métiers ;
  • L’augmentation des indemnités de résidence eu égard à l’explosion des prix du logement dans les territoires ;
  • L’octroi d’un véritable 13e mois pour l’ensemble des cheminots ;
  • L’équivalence de l’ensemble de ces revendications doivent être transposées aux cheminots contractuels ;
  • L’instauration d’une échelle mobile des salaires qui permettrait de suivre le niveau de l’inflation.

Vous comprendrez donc, qu’en conséquence et au terme d’un processus démocratique interne, entériné par la consultation de sa Commission Exécutive Fédérale élue par ses syndicats, la Fédération CGT des cheminots a décidé de ne pas valider l’accord salarial proposé par la direction.

Nous prenons acte de la tenue de quatre groupes de travail en 2024 portant sur la grille salariale, l’indemnité de résidence, la reconnaissance d’exercice des métiers ainsi que sur l’encadrement.

Nous participerons à ces rendez-vous en les plaçant sous le contrôle et la surveillance des cheminots, porteurs de leurs exigences, et cela sans concession.

Sur ce sujet comme sur d’autres, La fédération CGT des cheminots souhaite que se tiennent des négociations loyales et sereines permettant le débat contradictoire dans le respect des cheminots et de leurs représentants.

Dans l’attente de vous lire, recevez M. Le Président-Directeur Général du groupe SNCF, l’assurance de nos respectueuses salutations.

Thierry NIER
Secrétaire Général

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IL FAUT DE NOUVELLES NAO, VITE !

Accord NAO

| Espace presse

C’est à l’issue d’un processus démocratique interne, entériné par la consultation de sa Commission Exécutive Fédérale élue par ses syndicats, que la Fédération CGT des cheminots a décidé de ne pas valider l’accord salarial proposé par la direction.

En effet, cet accord entérine :

  • Le fait que la direction ne règle rien pour 2023 et ne prévoit, en fait, aucune NAO pour 2024.
  • Un nouveau recul du pouvoir d’achat des cheminots.

D’ailleurs la direction l’annonce elle-même :

  • Elle prévoit une inflation 2023 à + 4.9 %
  • Une évolution moyenne des prix de 9 à 10 %

+ 1,8 % : C’EST LA PROPOSITION DE LA DIRECTION !
AU MIEUX, C’EST UNE PLAISANTERIE, AU PIRE, DU MÉPRIS !

POUR RAPPEL :

  • La SNCF, c’est 2,4 milliards de bénéfices et plus d’un milliard de dividendes reversés à l’État.
  • Les mesures globales annoncées représentent une enveloppe de 300 millions : il faut donc tout remettre à l’échelle !

IL Y A DE LA MARGE !

Certaines nouvelles mesures annoncées semblent aller dans le bon sens pour certaines catégories de cheminots. Elles sont toutefois à mettre à l’actif de leur seule mobilisation avec la CGT ! Dont acte ! Que la direction les mette en œuvre sans attendre si elle en a vraiment la volonté ! Selon la CGT, ces mesures restent cependant trop faibles et en deçà des besoins des cheminots contractuels et statutaires concernés.

L’ampleur des dégâts causés par la stratégie salariale de la direction SNCF depuis des années et qui frappe de plein fouet tous les cheminots contractuels et statutaires, est colossale. Aucun subterfuge ne peut effacer cet état de fait. Il faut maintenant des actes !

CONCERNANT LES AUTRES ANNONCES, CET ACCORD C’EST :

  • Des annonces déjà faites l’an passé donc rien de nouveau, ni de plus.
  • Une mixture imbuvable de pourcentages additionnés qui ne feront jamais une vérité arithmétique en argent sonnant et trébuchant. Les cheminots ne sont pas dupes.
  • Une énumération de mesures différenciées selon les catégories de personnel, qui, au mieux, se chiffrent à quelques centimes supplémentaires et qui, dans les faits, creuseront, encore un peu plus les inégalités.
  • Une prime en somme fixe non pérenne, défiscalisée pour l’entreprise et non soumis à cotisations sociale, qu’il suffit de matérialiser par une simple consultation de l‘instance représentative du personnel au niveau national, sans obligation de résultat et avec la possibilité d’une mesure unilatérale quel que soit le résultat de ladite consultation.

C’est donc une pièce de théâtre qui a été orchestrée par la direction !

TOUT ÇA POUR ÇA !

Bref, le chantage à la signature, le « Cheminot bashing » portés par la direction ne feront trembler, ni les cheminots, ni la CGT.

La CGT revendique donc la réouverture rapide de NAO, avec, à l’ordre du jour :

  • L’augmentation générale des salaires ne se limitant pas à l’inflation mesurée, mais tenant également compte du contentieux salarial ;
  • La revalorisation des primes de travail et des mesures équivalentes pour les contractuels ;
  • La revalorisation des primes, indemnités et allocations ;
  • L’octroi d’un véritable 13e mois pour l’ensemble des cheminots contractuels et statutaires ;
  • L’augmentation des indemnités de résidence et son attribution à l’ensemble des cheminots contractuels et statutaires

EN CONSÉQUENCE :

  • La CGT cheminots adresse un courrier au Président FARANDOU dès aujourd’hui. Ce courrier sera diffusé publiquement et à l’ensemble des cheminots contractuels et statutaires.
  • La CGT appelle ses syndicats à envahir les chantiers localement et à organiser la lutte au plus près des cheminots sur la question salariale, entre autres.
  • La CGT va lancer une campagne sur les salaires dans les prochaines semaines car oui, la CGT est le syndicat de la feuille de paie !
  • La CGT va créer les conditions de l’unité des cheminots le plus large possible afin de parvenir à la riposte globale en commençant par organiser la riposte locale.
  • La CGT appelle tous les cheminots contractuels et statutaires qui ne l’ont pas encore fait, à rejoindre les rangs de la CGT pour donner de la force à la lutte et à nos revendications.

ALLONS CHERCHER CE QU’ILS NOUS DOIVENT !
FAISONS LE NOMBRE ET NOUS SERONS LA FORCE !
OUI NOUS SOMMES TOUTES ET TOUS CHEMINOT-ES !

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LA CGT CHEMINOTS À L’OFFENSIVE !

45e Congrès des Cheminots

| Espace presse

La Fédération CGT des Cheminots, ses syndicats, réunis en congrès à Tours, du 14 au 17 novembre, ont réaffirmé avec force et conviction leur volonté d’engager la réunification des chemins de fer publics.

Les congressistes ont également réaffirmé vouloir mettre un coup d’arrêt à l’externalisation, la destruction de l’entreprise publique, la mise en concurrence des salariés entre eux.

Il s’agit donc de stopper le démantèlement et la privatisation de la SNCF.

Ainsi, les congressistes ont approuvé à 92,71 % le bilan d’activité des trois années écoulées.

Ils ont voté à 85,05 % le document d’orientation et les repères revendicatifs des trois ans à venir.

La nouvelle Commission Exécutive, organe dirigeant de la Fédération, a été élue à 98,87 %.

Enfin, Thierry NIER a été élu Secrétaire Général de la Fédération, succédant ainsi à Laurent BRUN.

Romain PITELET a été élu Secrétaire Général Adjoint.

Par ce 45e Congrès, les syndicats qui constituent la Fédération CGT des Cheminots ont, une nouvelle fois, démontré leur capacité à analyser, débattre, décider et agir.

Toute la CGT des Cheminots entend donc poursuivre la construction d’un rapport de force conséquent afin de faire agir les cheminots sur :

  • La réunification des chemins de fer dans une entreprise publique, unique et intégrée : la SNCF ;
  • L’amélioration de leurs conditions sociales et la création d’un statut pour tous les cheminots ;
  • Une augmentation générale des salaires, les dispositifs de fin de carrière, le maintien, la sauvegarde et l’amélioration de leur protection sociale.

Une nouvelle fois, les cheminotes et les cheminots, avec la CGT, ont démontré, malgré les assauts répétés des libéraux de la direction SNCF et du Gouvernement, qu’ils ne lâcheront rien et qu’ils seront au rendez-vous des batailles pour la sauvegarde de la SNCF, entreprise publique de service public.

CONTACT SERVICE PRESSE COMMUNICATION
Cédric ROBERT
Tél : 01 55 82 84 32
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PRIME DE TRAVAIL DES RET, UN PREMIER PAS !

Vigipirate

| Trains

Après 18 mois d’interpellations et de démarches revendicatives, la Direction a été contrainte d’étudier les revendications de la CGT concernant la prime de travail des RET.

C’est au cours de l’ISMB (instance spécifique Métier Bord) qu’elle a annoncé des premières mesures.

En janvier 2021, le collectif technique Trains de la Fédération CGT des cheminots a engagé une réflexion de fond sur les primes de travail des ASCT et des RET. Un travail d’identification des éléments techniques a été produit dans le but de refondre et revaloriser les codes primes 24 et 25.

Concernant le code prime 25 dévolu aux RET, la CGT s’est appuyée sur plusieurs paramètres (déroulement et montant). Si celui-ci bénéficie d’un montant supérieur au code prime 01 (autres cheminots qu’ASCT, ADC et CTT), son déroulé est aberrant.

En effet, lorsqu’un RET prend son poste, celui-ci est classifié à la classe 5 (ex-qualification E) – position 16. Le déroulement du code prime 25 est prévu de la PR 16 à 28. Or, les montants ne se revalorisent que sur les PR 16, 17 et 18.

Ainsi, toutes les autres augmentations cessent au-delà de la PR 18. En outre, l’analyse des codes primes 24 et 25 laisse apparaître un écart des montants en défaveur des RET sans qu’aucune explication crédible ne soit formulée.

Aussi, la Fédération CGT s’est employée à alerter la Direction afin de traiter et régler ces aberrations. Ce travail revendicatif s’est inscrit dans le cadre de la table ronde NAO de décembre 2022 ainsi que lors du conflit ASCT, qui ont permis conjointement la revalorisation de la prime de travail à hauteur de 110 euros par mois (600 euros annuels pour tous les cheminots et 720 euros annuels pour ceux de la filière Trains). La justesse de nos revendications et le rapport de force ont ainsi porté leurs fruits.

Toutefois, la Direction n’entendait toujours pas traiter le sujet spécifique des RET. La Fédération CGT a donc poursuivi les démarches qui ont fini par payer, puisque lors de la nouvelle instance Bord, la Direction, par la voix du directeur du Bord, a procédé à des annonces concernant le code prime 25.

Ainsi, la Direction a entendu la revendication CGT et débloque l’échelonnement de la rémunération du code prime 25. Elle propose une progression linéaire avec annulation de l’effet plateau sur la PR 18.

Le montant évoluera de 479 euros de moyenne mensuelle à la PR 18 à 503,56 euros pour la PR 28. Ce déblocage permet aux RET d’avoir un effet progressif tout au long de leur carrière.

Toutefois, le compte n’y est pas ! Il subsiste un écart de rémunération entre les deux codes primes Trains. Une des raisons se trouve certainement derrière la volonté de la Direction de fusionner les métiers de RET et de DPX positionnés sur le code prime 01, moins rémunérateur.

La Fédération CGT des cheminots prend acte de la fin d’une aberration et appelle tous les RET à échanger avec les syndicats UFCM-CGT afin de construire ensemble les bases d’une démarche revendicative gagnante. Une étape a été franchie, il en reste d’autres !

* Les montants de ce calcul sont réalisés sur la valeur moyenne 2024 et seront payés à partir de février 2024.

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DES MIETTES NE SUFFIRONT PAS !

NAO salaires

| Les conditions sociales

La direction refuse de rendre l’argent aux cheminots !

Lors de la négociation, la direction a fait des propositions indécentes et méprisantes au regard du contentieux salarial accumulé et, qui plus est, réduites en cas d’absence d’accord valide !

Face au refus de la direction d’entendre l’urgence salariale, les cheminots doivent hausser le ton.

La Fédération CGT des Cheminots mettra tout en oeuvre pour créer les conditions de l’unité la plus large pour aller gagner par la lutte les mesures attendues par les cheminots.

La direction du GPU SNCF, dans une attitude méprisante, a considéré que les cheminots étaient largement servis en matière salariale et qu’ils n’ont pas à se plaindre en comparaison avec d’autres salariés.

Plutôt que d’augmenter significativement les salaires, la direction se gargarise de mécanismes concernant les PR de 4 à 16 permettant, selon elle, que les salaires de l’ensemble des cheminots atteignent a minima le SMIC +10 %.

Elle espère conclure le sujet par une méthode autoritaire, en faisant preuve de suffisance et de mépris, par un chantage à la signature auprès des organisations syndicales, en annonçant les mesures suivantes :

  • une augmentation générale des salaires de 1,8 % seulement, au 1er janvier 2024, ramenée à 1 % en l’absence d’accord valide ;
  • une enveloppe de 1,3 % pour des augmentations individuelles redistribuée au choix des « managers » aux cheminots contractuels des classes 1 à 6, enveloppe portée à 1,5 % pour les cheminots des classes 7 et 8 et portée à 3 % pour les cheminots contractuels embauchés depuis au moins 4 ans et qui seraient en dessous de certains plafonds (non déterminés) ;
  • la revalorisation de 4 % des indemnités de travail de nuit et de dimanches et fêtes ;
  • une « prime Macron » de 400 € ;
  • la reconduction du dispositif « forfait mobilité durable » et de la prise en charge à 75 % des frais de transport en commun ;
  • la reconduction des 15 % de contingents de niveaux supplémentaires ;
  • 5 ans de délai de séjour maximal sur une PR pour les classes 1 à 6, TA et TB ;
  • la création d’une PR 37 avec un contingent de 20 % des effectifs à la PR 36 ;
  • l’augmentation de l’indemnité de réserve de 25 € ;
  • un complément de PFA pour les personnels roulants calé sur la Valeur Moyenne Théorique de la prime de travail ou de traction et équivalence pour les contractuels ;
  • la revalorisation de 15 % des indemnités de management et d’encadrement (DPX, DUO, DET).

Des amorces de discussions ont eu lieu sur d’autres points, mais l’essentiel est renvoyé à des groupes de travail devant se tenir au 1er semestre 2024 sur 4 thèmes :

  • la revalorisation de l’indemnité de résidence ;
  • la rémunération des encadrants ;
  • les conditions d’exercice et de reconnaissance des métiers ;
  • la révision de la grille salariale pour les statutaires.

Ces quelques dispositions sont bien loin d’un début de compensation du contentieux salarial et de l’inflation !

Pourtant de l’argent, il y en a…

  • La SNCF affiche des bénéfices records avec plus de 2,4 milliards d’euros en 2022.
  • Le groupe réalise 20,7 milliards de chiffre d’affaires au 1er semestre 2023 avec une progression de 2,2 % par rapport à 2022 qui était déjà une année record.

C’est le produit du travail des cheminots, et la contrepartie, c’est le salaire !

D’autant plus qu’ils subissent une inflation galopante : entre août 2022 et août 2023, +11,2 % sur les produits de grande consommation, +18 % sur l’électricité et en 8 ans,+70 % sur le gaz !

Aller chercher ce qui nous est dû, c’est possible !

Pour exemple, des luttes cheminotes locales, construites avec la CGT, ont permis notamment d’obtenir des revalorisations importantes des primes de travail.

Dans d’autres secteurs comme l’industrie, des hausses générales de salaire ont été obtenues par la lutte massive des salariés.

Aux États-Unis, dans un contexte de capitalisme exacerbé, les salariés ont fait plier les géants automobiles GM, Stellantis et Ford en obtenant, entre autres, 25 % de hausse des salaires de base.

Des réalités auxquelles la direction ne peut et ne doit pas échapper.

LA CGT REVENDIQUE :
Une augmentation générale des salaires d’au minimum 12 % ;
• L’indexation des salaires sur l’inflation (échelle mobile des salaires) ;
• La revalorisation des primes de travail, de traction et l’équivalent pourles cheminots contractuels ;
• Un véritable 13e mois pour tous les cheminots ;
• La revalorisation des primes, indemnités et allocations ;
• Une importante augmentation des indemnités de résidence et son attribution à l’ensemble des cheminots.

LA CGT, AUX CÔTÉS DES CHEMINOTS, ORGANISERA LA RIPOSTE !

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DU SALAIRE ! PAS DES POURBOIRES…

NAO Salaires

| Fédération

LES CHEMINOTS PLACENT LES NAO SOUS CONTRÔLE

Le 8 novembre 2023 se tiendront les négociations annuelles (NAO) salariales à la SNCF.

La CGT exigera :

  • Une augmentation générale de 12% des salaires ;

  • Un 13e mois pour tous ;

  • L’augmentation de l’indemnité de résidence ;

  • La revalorisation des primes de travail et de traction et équivalence pour les contractuels ;

  • L’indexation des salaires sur l’inflation (échelle mobile des salaires).

Si un dégel des salaires a été obtenu par la grève des cheminots lors de négociations salariales en 2022, les augmentations n’ont pas été suffisantes pour améliorer leurs conditions de vie. D’ailleurs, face à une inflation qui s’installe durablement et à la faiblesse des salaires dans le GPU SNCF, les directions des différentes SA décident régulièrement de procéder à des perfusions de primes aléatoires et non liquidables, qui viennent gonfler une part variable déjà très importante dans la rémunération des cheminots.

Lors des différentes rencontres avec la direction, la CGT a porté avec détermination la nécessité d’une augmentation importante et générale des salaires qui ne doit pas se limiter à la l’inflation, mais répondre à une juste rémunération des qualifications et du travail des cheminots.

Depuis 40 ans, la désindexation des salaires sur les prix a peu à peu grignoté le pouvoir d’achat des salariés.

La CGT exige le retour à l’indexation des salaires sur les prix !

À la SNCF, les 8 années sans augmentation générale des salaires ont aggravé les conséquences pour les cheminots.

Le contentieux salarial atteint plus de 30 % et l’inflation pour 2023 est proche de 6 %.

Les cheminots subissent de plein fouet l’explosion des prix de l’énergie (+16 % pour l’électricité), des produits alimentaires (+19 %), des forfaits téléphoniques, internet (+9 %) … alors que, dans le même temps, la direction SNCF affiche des bénéfices records.

Plus de 2,4 milliards d’euros de bénéfices en 2022, richesse produite par le travail des cheminots.

L’ARGENT DOIT ÊTRE RENDU AUX CHEMINOTS !

LA CGT REVENDIQUE UNE AUGMENTATION GÉNÉRALE DES SALAIRES DE 12 % :

  • 6 % comme première étape d’un plan de programmation de rattrapage du contentieux ;
  • 6 % au titre de l’inflation 2023
Exemples d’augmentation de 12 % sur le traitement au cadre permanent

Exemples d’augmentation de 12 % sur le traitement au cadre permanent

Exemples d’augmentation de 12 % pour un cheminot contractuel avec 3 ans d’ancienneté

Exemples d’augmentation de 12 % pour un cheminot contractuel avec 3 ans d’ancienneté

UN VÉRITABLE 13E MOIS POUR TOUS LES CHEMINOTS
LA REVALORISATION DE L’INDEMNITÉ DE RÉSIDENCE

Les loyers flambent. En l’espace de 2 ans, ils ont augmenté jusqu’à 7 % (3,5 %/an) dans certaines régions. De nombreux cheminots ne peuvent plus se loger à proximité de leur lieu de travail.

L’indemnité de résidence doit donc être revalorisée en tenant compte de ces réalités.

LA REVALORISATION DES PRIMES DE TRAVAIL ET DE TRACTION ET ÉQUIVALENCE POUR LES CHEMINOTS CONTRACTUELS

Les difficultés pour recruter ou les démissions qui se multiplient sont les conséquences de l’absence de reconnaissance salariale.

Dans tous les établissements, les cheminots se mobilisent localement pour une véritable reconnaissance de leurs métiers et de leurs qualifications.

La CGT exige la refonte et la revalorisation des primes des travail et équivalence pour les cheminots contractuels.

LE 8 NOVEMBRE,
PAR LA GRÈVE, PRENONS LE CONTRÔLE DES NÉGOCIATIONS !
MOBILISONS-NOUS !
DÉPOSONS MASSIVEMENT NOS DII !

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L’UNION FÉDÉRALE RETRAITÉS CGT CHEMINOTS À L’OFFENSIVE !

Revalorisation des pensions

| Retraités UFR

L’UFR-CGT cheminots continue le combat et appelle les retraités à amplifier les luttes pour une véritable revalorisation des pensions et stopper les attaques sur les droits sociaux !

L’évolution du montant des pensions était à l’ordre du jour du CA de la CPRP SNCF du 12 octobre 2023, dans un contexte d’inflation et d’explosion des prix que nous n’avions pas connu depuis plusieurs décennies. Les retraités, comme l’ensemble de nos concitoyens, subissent de plein fouet cette situation de perte de pouvoir d’achat accentuée par plusieurs années de désindexation et de baisse de la pension.

Depuis 2022, la hausse des profits est responsable de 45 % de l’inflation. Les 55 % restants proviennent des coûts de l’énergie et des matières premières. Les prix des produits alimentaires explosent, tout comme ceux de l’électricité et des carburants. Près de la moitié des personnes gagnant autour du Smic sautent un repas par jour et, parmi eux, de nombreux retraités.

Les retraités cheminots n’y échappent pas, ce phénomène est aggravé par la mise en oeuvre des réformes SNCF, combattues avec force par les cheminots actifs et retraités avec la CGT, réduisant les droits des retraités, accentué par la signature d’accords de régression sociale, à l’image de l’accord « classifications-rémunérations » intégrant aussi les Facilités de Circulation. À ce sujet, la CGT se félicite que les multiples actions qu’elle a impulsées avec les retraités, aient permis que les ayants droit de retraités en difficulté numérique puissent obtenir une carte papier valable pour 3 ans, qui sera éditée pour ceux qui en feront la demande, mettant un coup d’arrêt à la dématérialisation imposée !

Nous avons rappelé à la direction de la CPR qu’elle serait bien inspirée d’en prendre exemple concernant les près de 42 000 retraités de droit direct qui n’ont pas de compte ouvert à la CPR.

Les mobilisations massives des retraités, impulsées par la CGT, souvent dans une unité très large, ont obligé le gouvernement à revaloriser les pensions, 4 % au 1er juillet 2022.

Depuis 2017, le président des riches, après avoir fait les poches des retraités (désindexation des pensions, CSG …) représentant 62 milliards d’euros au début 2023, continue sa politique de régression sociale.

Les retraités ont contribué toute leur vie à la création de richesses. Ils contribuent au financement de la Sécurité sociale et des services publics, et sont aujourd’hui un rouage essentiel dans la vie associative, sociale, culturelle et sportive du pays.

En refusant de revaloriser le Smic et les salaires, préférant des mesures exonérées de cotisations sociales, le gouvernement, aidé en cela par la droite et l’extrême droite, répond aux intérêts du patronat et fragilise à nouveau le financement de notre système de protection sociale et l’avenir de la Sécurité sociale, fondement de notre socle social. Depuis 1993, le montant des exonérations de cotisations sociales a augmenté pour atteindre près de 660 milliards d’euros. Par la lutte, il faut stopper ce hold-up !

Les retraités exigent une véritable augmentation des pensions comme des salaires, source de tout le financement de la Sécurité sociale. Ils demandent une Sécurité sociale intégrale, solidaire, universelle et démocratique avec un financement à 100 % par les cotisations sociales et, pour les retraités cheminots, l’extension du régime spécial de prévoyance et de retraite à l’ensemble des cheminots actifs et retraités de la branche ferroviaire.

Les moyens existent pour satisfaire ces revendications ! C’est ce que portait une délibération à ce CA de la CPR qui a été votée à l’unanimité.

Les retraités, dans leur diversité, disent ça suffit et se mobilisent pour exiger :

  • L’augmentation immédiate des pensions et des régimes complémentaires de 10 % (revendication portée par 9 organisations de retraités appuyée par une carte pétition signée massivement) ;
  • Le rattrapage des pertes de pouvoir d’achat relatives au gel, à la désindexation des pensions sur les prix ;
  • Le retour au principe d’indexation des pensions sur le salaire moyen pour le régime général et une péréquation élargie au salaire imposable pour le régime spécial des cheminots ;
  • La revalorisation des pensions au 1er janvier de l’année considérée ;
  • Le rétablissement du paiement trimestriel « à échoir » des pensions dans les mêmes conditions qu’avant sa suppression ;
  • Le relèvement du minimum de pension SNCF pour l’aligner sur le Smic brut revendiqué par la CGT, soit actuellement 2 000€ ;
  • Le relèvement du taux de la pension de réversion à 75 % de la pension directe (avec un seuil minimum équivalent à 80 % de la pension minimum) sans conditions d’âge, de sexe, de ressources, de cumul et quelle que soit la nature juridique de la vie ;
  • L’abrogation de la CSG (elle doit être remplacée par les cotisations), la CRDS, la CASA et la fiscalisation des majorations enfants ;
  • La suppression des exonérations de cotisations sociales dites « patronales » (salaire socialisé)… ;
  • L’arrêt du processus de mise en place d’une complémentaire santé obligatoire pour les cheminots du cadre permanent. Outre le recul que cela va faire peser aux cheminots actifs en matière d’accès aux soins et de coûts financiers lors d’interventions par des spécialistes, nous affirmons qu’à couverture inchangée, la cotisation mutualiste des retraités augmenterait de plus de 20 % dès la première année, avec une progression accélérée ensuite. Ce serait une nouvelle perte de pouvoir d’achat pour les retraités et une remise en cause de l’accès aux soins pour beaucoup.

Le mardi 24 octobre 2023, nous appelons tout·e·s les cheminot·e·s à participer massivement aux rassemblements et manifestations sur tout le territoire à l’initiative de 9 organisations de retraités pour une revalorisation immédiate des pensions de 10 % avec remise des cartes pétitions.

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LA CGT DÉTERMINÉE POUR LES RETRAITÉS !

Élections CA CPR

| Espace presse

Les cheminotes et les cheminots retraités étaient appelés à voter à l’élection du conseil d’administration de la CPR.

La CGT est confortée dans sa place de première organisation syndicale chez les retraités, comme elle l’est chez les actifs.

Malgré la baisse de 13 503 inscrits et un recul de 1,68 % de la participation, les retraités ont donc massivement validé l’action de la Fédération CGT et de son Union fédérale des retraités, en plaçant notre organisation syndicale à 18 % devant la deuxième OS.

Fortes des 38,61 % obtenus lors de ce scrutin, la Fédération CGT et son UFR sont plus que jamais déterminées à agir pour :

  • L’indexation des pensions sur l’évolution du salaire moyen et un rattrapage de la perte cumulée du pouvoir d’achat ;
  • L’abrogation des mesures prises par la tutelle et la SNCF à l’encontre du régime spécial (baisse du nombre de prestations, mise en place des franchises médicales, déremboursement des médicaments) ;
  • De porter à 100 % le taux de remboursement de l’ensemble des dépenses de santé pour les cheminots en activité, les retraités, les veuves et les veufs et leurs ayants droit ;
  • La généralisation du tiers-payant afin de supprimer toutes les avances de frais de santé ;
  • L’amélioration, sous une forme pérenne, des services et prestations servies par la CPR (frais d’optique / audio et dentaires, prise en charge de transport sanitaire) ;
  • La prise en charge de tous les frais de soins et de santé découlant de la perte d’autonomie et du handicap ;
  • L’extension du régime spécial de prévoyance et de retraite à l’ensemble des cheminots de la branche ;
  • L’accroissement des droits et moyens d’intervention des représentants des bénéficiaires actifs et retraités dans les instances de gouvernance et de gestion de la protection sociale, telles que la CPR.

1ère organisation syndicale chez les retraités,
1
ère organisation syndicale chez les actifs :

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Narbonne : une nouvelle direction et le plein de revendications pour les cheminots de la CGT

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